The Pursuit of Musick

4

Colin Muset, early 13th c: ‘En mai, quant li rossignolez’, Les chansons de Colin Muset, ed. J. Bédier (Paris, 1912), 6, l.9–12

Castiglione, 1528: Il Libro del Cortegiano (1528, Venice); tr. The Courtyer of Count Baldessar Castilio by Thomas Hoby (1561) Bk 1, sig.J3

The Praise of Musicke, 1586: [John Case], The Praise of Musicke (Oxford, 1586), 44

Ireland, 1698: John Dunton, letter (no.3); E. MacLysaght, Irish Life in the Seventeenth Century (3/1969), 354–5

5

COUNTRY

France, late 13th c: L’autre jour/Au tens pascour/in seculum (motetus part), Bamberg Codex (MS); R. Taruskin, The Oxford History of Western Music (2005), i, 224–5

Chaucer, c1390: Geoffrey Chaucer, The Canterbury Tales, General Prologue, lines 545–6, 565–6

Montaigne, 1581: Michel de Montaigne, journal entry (2 July 1581) (MS); Journal du Voyage de Michel de Montaigne en Italie(Rome, 1774), ii, 334

‘Considerai tre cose: … La seconda di veder questi contadini il liuto in mano, a fin alle pastorelle l’Ariosto in bocca. Questo si vede per tutta Italia.’

John Earle, 1629: Micro cosmographie (London, ‘fift edition much enlarged’, 1629), no.2

Richard Brathwait, 1631: Whimzies: or, a New Cast of Characters (London, 1631), 12

Naples, 1645: John Evelyn, The Diary of John Evelyn, ed ES De Beer (1995), ii, 353–4, diary entry (8 Feb. 1645)

Oxfordshire, 1654: The Life and Times of Anthony Wood, ed. A. Clark (Oxford, 1891–1900), i, 189–90

6

Spain, 1661: Lodewijck Huygens, journal entry (28 Nov. 1661); Lodewijck Huygens’ Spaans journaal ... 1660–1661, ed. M. Ebben (2005), 200–1

‘nous vismes aussij dans ce village une dance fort plaisante d’une nopce de 2 villageois, qui faisoijent merveille au son des castagnettes et d’un certain tambourin quarré qu’ils usent fort en Espagne. Il a des peaux de 2 costez comme un tambour et au-dedans il ij a quelques sonnettes.’

Italy, 1668: Jean Gailhard, The Present state of the princes and republicks of Italy (London, 1668), 148–9

Ireland, 1674: Richard Head, The Western Wonder, or, O Brazeel (London, 1674), 37–8

Telemann, c1705: autobiography (1740); in Johann Mattheson, Grundlage einer Ehren-Pforte (Hamburg) 360

‘Als der Hof sich ein halbes Jahr lang nach Plesse, einer oberschlesischen, promnitzischen Standesherrschafft, begab, lernete ich so wohl daselbst, als in Krakau, die polnische und hanakische Musik, in ihrer wahren barbarischen Schönheit kennen. Sie befund, in gemeinen Wirtshäusern, aus einer um den Leib geschnalleten Geige, die eine Terzie höher gestimmet war, als sonst gewöhnlich, und also ein halbes Dutzend andre überschreien konnte; aus einem polnischen Bocke; aus einer Quintposaune, und aus einem Regal. An ansehnlichen Oerten aber blieb das Regal weg; die beiden erstern hingegen wurden verstärckt: wie ich denn einst 36. Böcke und 8. Geigen beisammen gefunden habe. Man sollte kaum glauben, was dergleichen Bockpfeiffer oder Geiger für wunderbare Einfälle haben, wenn sie, so oft die Tantzenden ruhen, fantaisiren.’

Gluck: i) J. C. Mannlich, ‘Histoire de ma vie’; H. Weiss von Trostprugg, ‘Mémoires sur la musique à Paris à la fin du règne de Louis XV’, La revue musicale, xv (1934), 260 ii) c1730 Weiss von Trostprugg, ibid., 261

i) ‘Dans mon pays tout le monde est musicien; on enseigne la musique dans les écoles et dans les moindres villages les paysans chantent et jouent des différens instrumens pendant la grand-messe dans leurs églises.’

ii) ‘Voulant ménager le peu d’argent que j’avois, je m’approchois d’une maison de paysan, la famille étoit à table; je tirois ma guimbarde de ma poche et les régalois de quelques airs. Me voyant proprement vêtu, ils me firent entrer et me donnèrent place à leur table. Le soir, à l’entrée de la nuit, me trouvant dans in autre village, ma Guimbarde me valut des œufs, du pain, du fromage, qu’on me donnoit par les fenêtres des maisons où je m’étois fait entendre. ... Les fêtes et dimanches, je jouois toujours tantôt d’un instrument, tantôt d’un autre dans les églises de village. J’y passois pour un virtuose et le Curé me recevoit et me logeoit ordinairement chez lui. Ces bons pasteurs étoient tous musiciens et me retenoient quelquefois plusieurs jous dans leur maison.’

Suffolk, 1764: Rev. Stephen White, letter; E. L. Fenn, ‘Church-singing in the Eighteenth Century’, The Eastern Counties Magazine, vol.2 no.7 (Feb. 1902), 276–7

7

TOWN

The Spectator, 1711: Joseph Addison, [no title (commonly referred to as ‘The Cries of London’)], The Spectator, CCLI (18 Dec., 1711)

8

Street Music

Paris, 1372: P. Loubet de Sceaury, Musiciens et facteurs d’instruments de musique sous l’ancien régime (1949), 37–8

‘Item, pour ce qu’il est venu à la congnoissance du prévost de Paris que sous umbre de ce que plusieurs ménestriers vont jouer et corner de nuit, plusieurs roberies ont esté faittes à Paris et huys rompus avec plusieurs autres déliz et malefices, est aussi deffendu, de par le roy, notre sire, et de par monsieur le prévost de Paris, que doresnavant nuls ménestriers ne soyent sy osés ne hardys de jouer ne faire leur mestier soit en taverne ou dehors après l’heure de couvre-feu sonnée, se ce n’est que ils soyent à nopces et en l’hostel où les nopces seront, sur peine de perdre instruments et de quarante sols parisis d’amende au roy.’

England, 1407: Two Wycliffite Texts, ed. A. Hudson (1993), 64 Germany, 1591–2

Germany, 1591–2: Shakespeare’s Europe: unpublished chapters of Fynes Moryson’s Itinerary, ed. C. Hughes (London, 1903), 301

Elgin, 1592: Kirk Session, edict of 1 Nov. 1592; W. Cramond, The Records of Elgin, 1234–1800 (Aberdeen, 1903–08), ii, 26–7

London, 1596: petition to Privy Council (Nov. 1596) by inhabitants of Blackfriars; E. K. Chambers, The Elizabethan Stage (Oxford, 1923), iv, 320

Germany, early 1600s: Syntagma musicum (3 vols, Wolfenbüttel /R1959: ii and iii = 1619), 33

London Gazette, 1682: The London Gazette (13–17 April 1682)

9

Italy, 1702: François Raguenet, Paralèle des italiens et des françois, en ce qui regarde la musique et les opéra (1702, Paris /R1976), anon. tr. as A Comparison Between the French and Italian Musick and Opera’s (1709/R1968), 54–5

Salisbury, 1763: Elizabeth D’Oyly to James Harris, jnr (?July/Aug. 1763); Burrows & Dunhill, Music and Theatre in Handel’s World (2002), 410

Serenading

Anon., 14th c: ‘Tres dous compains’ (MS); Medieval Music, ed. W. T. Marrocco & N. Sandon (The Oxford Anthology of Music) (1977), 161

Tres dous compains,

levés sus,

Car je ne puis dormir plus

Et ne fas que maginer;

Pour quoys pri que alons soner

Maintenant une estampie

Pour devant l’ostel ma mie;

Encor vos pri pour amours

Que aioms [?aions] tous les compaignors

Nacaris et cournemuses,

Leux et grousses fleütes.

Chaucer, c1390: ‘The Miller’s Tale’, l.3352–4, 3360–3 ; ed. R. N. Robinson (1974)

Sebastian Brandt, 1494: Das Narrenschiff (Basel & Strasbourg, 1494), trans. as The Shyp of Folys by Alexander Barclay (London, 1509), f.124v–125

Paris, 1547: Philibert de Vienne, Le philosophe de court (Paris, 1547 & 1548), trans. G. North, The Philosopher of the Court (London, 1575), 32

Edinburgh, 1561: Pierre de Brantôme, ‘La Royne d’Escosse’, Recueil des Dames, Pt 1; Oeuvres Complètes de … Branthôme, ed. P. Mérimée & L. Lacour, x (Paris, 1890), 127

‘le soir, ainsin qu’elle se vouloit coucher, estant logée en bas en l’abbaye de L’Islebourg ... vindrent soubz sa fenestre cinq ou six cens marauts de la ville luy donner l’aubade de meschans viollons et petits rebecz, dont il n’y en a faute en ce pays là; et se mirent à chanter des psaumes tant mal chantez et si mal accordez, que rien plus. {Hé! quelle musique et quel repos pour sa nuict!}’

Paris, 1607: contract of 27 Aug. 1607; M. Jurgens, Documents du Minutier central concernant l’histoire de la musique (1600–1650) (1967–), i, 420

‘de jouer ... avec leurs viollons et cornetz, en la maniere accoustumée quatre-vingt-douze aubades devant les maisons qui leur seront monstrées et faict monstrer par lesdictz Thuvin et Le Fevre, à commencer dès huict heures du soyr la vueille de la Nostre-Dame de septembre prochaine et continuer jusques à sept heures du matin dudict jour de Nostre-Dame.’

Inns & Taverns

Thomas Deloney, 1597: The Pleasant History of John Winchcomb… called Jack of Newberie (London, 1619), sig.B4

Chaucer, c1390: The Miller’s Tale, l.3333–6; ed. R. N. Robinson (1974), 50

Stephen Gosson, 1579: The Ephemerides of Phialo … And A Short Apologie of the Schoole of Abuse (London, 1579), 87r

10

Thomas Coryat, 1608: Coryats Crudities (London, 1611), 66; Coryat’s Crudities (Glasgow, 1905), 213

Fynes Moryson, 1617: An Itinerary (London, 1617), iii, 151 (Bk 3, ch.3)

Lodewijck Huygens, 1652: The English Journal 1651–1652, ed. AGH Bachrach & RG Collmer (1982), 205

‘Wij hadden 4 goede schotelen etens; en appelen mit elck een kleijne soucierte met anijs suijcker daertoe voor dessert. Ses violons quamen haer dienst presenteren, en speelden ons de gantsche middagh over eenighe seer goede stucken van Will. Lawes, Colemans Taylors en oock van haer eijgen compositie; Drij van haer hadden Theorbes, 2 hand-violen, en een een bas met 4 snaren.’

Samuel Pepys The Diary of Samuel Pepys, ed R Latham & W Matthews (11 vols, 1970–83) i) 1660: (16 Jan. 1660) i, 19 ii) 1661: (27 Mar. 1661) ii, 61 iii) 1661: (27 Apr. 1661) ii, 89

John Grano: diary entries; Handel’s Trumpeter: the Diary of John Grano, ed. J. Ginger (1999) i) 1728: (10 Aug. 1728), 70 ii) 1729: (19 June 1729), 269–70

11

James Harris, 1768: Burrows & Dunhill, Music and Theatre in Handel’s World (2002), 530 [tr adapted]

‘C’etoit la veille de Noel quand cet accident m’arrivoit, & je trouvois la masure ou je devois me choucher tout pleine des rejouissants[;] leur rejouissance cependant ne m’a nullement egayè[;] c’etoit des guittares raucs, & des tambours qu’ils n’ont cessè de battre toute la nuit, & de les accompagner avec les cantiques a leur facon; ce tapage m’a empechè de dormir, & tout bon xtien que j’etois, je ne pouvois m’empecher de maudire leur funeste musique.’

Wake-up calls

Lording Barry, 1611: Ram-Alley (London, 1611), V/i

Samuel Pepys: The Diary of Samuel Pepys, ed R Latham & W Matthews (11 vols, 1970–83) i) 1667: (16 Feb. 1667) viii, 66 ii) 1668: (17 June 1668) ix, 243

Daniel Defoe i) 1722: Moll Flanders (London, 1722), Pt 9, opening ii) 1724: A Tour Through the Whole Island of Great Britain, i (London, 1724), 112 (letter 2)

Shops & Trades

Oxford, 1306: inquest on Gilbert de Foxlee; J. E. Thorold Rogers, Oxford City Documents 1268–1665 (Oxford, 1891), 165

‘... die Jouis in vigilia natiuitatis S. Johannis Baptiste proxime praecedentis Cissores Oxoñ et alij de villa qui fuerant cum eis vigilabant in Shoppis suis per totam noctem cantantes et facientes solatia sua cum Cytharis Viellis et alijs diversis instrumentis ...’

Fano, 1581: Michel de Montaigne, journal entry (28 Apr. 1581); Journal du Voyage de Michel de Montaigne en Italie (Rome, 1774), ii, 121

‘Il se treuve quasi à toutes les hosteleries, des rimeurs qui font sur le champ des rimes accommodées aus assistants. Les instrumants sont en toutes les boutiques jusques aux ravaudurs des carrefours des rues.’ (28 April)

Thomas Deloney, 1597: The Gentle Craft (London, 1637), sig.C4

Cheshire, 1639: E. Baldwin, Paying the Piper: Music in pre-1642 Cheshire (2002), 152

English barbers i) 1660: Samuel Pepys, diary entry (5 June 1660); The Diary of Samuel Pepys, ed R Latham & W Matthews (11 vols, 1970–83), i, 169 ii) 1663: Samuel Pepys, diary entry (22 July 1663)'; ibid, iv, 237 iii) 1700: Thomas Brown, Amusements Serious and Comical (1700), 111

12

Bells

Jean de Gerson, c1426: I. Fabre, La doctrine du chant du cœur de Jean Gerson (2005), 332 (l.386–7)

‘{cymbala ea quae vocavimus campanas ...} Talibus utitur Ecclesia plus aliis sectis, ad Domini laudes ... quarum officia metris quidam expressit loquentem inducens campanam: Laudo Deum verum, plebem, voco, congrego clerum,/ Defunctos ploro, pestem fugo, festa decoro.’

Nuremburg, 1488: (MS); ‘Etliche Geschichten 1488–1491’ (ch.14), in Die Chroniken der fränkischen Städte. Nürnberg, vol. 5, ed. C. Hegel (Leipzig, 1874), 717

‘warden auf eines rats begeren, da es drei gen nacht schlug, hie in allen kirchen und clostern alle glocken geleutet und te deum laudamus gesungen, zwei freudenfewer, eines auf der vesten und das ander am Marckt, angezunt und von den statpfeifern und trumetern, auf dem portal unser lieben frawen capellen gestanden, gehofiert’.

Brunswick, late 16th c: Praetorius, Syntagma musicum (3 vols, Wolfenbüttel /R1959: ii and iii = 1619)(1614-15), i, 131–2

‘{Kirchen Ordnung auff den Dörffern.} Weil auch gebreuchlich/ daß die BetGlocken Abends/ Morgends und zu Mittage geleutet werden/ so sol das Volck vermanet werden/ wenn solches geschicht/ daß sie ihr Gebet zu Gott dem HErrn für Frieden und alle zeitliche und ewige Wolfahrt thun/ und ihr Gesinde auch darzu halten/ sie seyn im Hause/ im Felde/ oder wo einer ist/ und daß sie sich des nicht schemen/ Denn es ist Gott ein gefellig/ und ihnen selbst ein nützlich Werck.’

England, 1598: Paul Hentzner, Itinerarium Germaniae, Galliae, Angliae, Italiae (Nuremberg, 1612), 156–7

‘Delectantur quoq; valdè sonitibus, qui ipsis aures implent, uti explosionibus tormentorum, tympanis & campanarum boatu, ita ut Londini, multi qui se inebriaverint turrem unam aut alteram, exercitij causa ascendant, & per horas aliquot, campanis signum dent.’

Winchester, 1762: Edward Poore, letter; D. Burrows & R. Dunhill, Music and Theatre in Handel’s World (2002), 487386

Padua, 1770: Charles BURNEYA, 1770, i, 106                                                                     

Carillons

Mersenne, 1636: Harmonie universelle, Pt3, 412 (Traité des Instrumens, Bk 5, Prop.viii)

‘Les Carillons sont si communs dans les Pays-bas, qu’il n’y a quasi point de Villes, où il n’y en ayt un ou plusieurs dans les tours des Eglises, comme l’on peut voir à Mont en Hainaut, à Anvers, à Liege, & en plusieurs autres endroits, où ils ont trente ou quarante Cloches qui font les mesmes degrez, & intervalles de Musique, que les claviers des Orgues, & des Epinettes:’

Antwerp, 1571: Girolamo Maggi, H. Magii de tintinnabulis liber postumus (Hanau, 1608), 70

‘Ideo cùm campanae pulsantur, non solum in domibus, sed etiam in triuiis egregiè, & magna cum hilaritate saltantes homines, & tripudiantes conspicias: quis nomos, & cuius musici cantio pulsetur, facilè agnoscas; vt mirū sit, cur ea ars & ad nostrates, vt in multis aliis factū est, non peruenerit.’

Netherlands, 1732: i) James Harris, travel diary; Burrows & Dunhill, Music and Theatre in Handel’s World (2002), 3 ii) James Gibb, travel diary; ibid., 6

Civic music

Paris, 1418: Journal d’un bourgeois de Paris, 1405–1449, ed. A. Tuetey (Paris, 1881), 105–6

‘{Item,} en icellui temps avoit à Paris ung chevalier du guet, nommé Gaultier Rallart, qui nulles foys n’alloit au guet qui n’eust devant lui iii ou iiii menestriers jouans de haulx instrumens, qui moult estoit estrange chose au peuple, car ils disoient qu’il sembloit qu’il deist aux malfaicteurs: “Fuiez vous en, car je vien.”’

Basel, early 16th c: F. Ernst, ‘Die Spielleute im Dienste der Stadt Basel im ausgehenden Mittelalter (bis 1550)’, Basler Zeitschrift für Geschichte und Altertumskunde, 44 (1945), 154

‘Die trumpeter, so je zuon zyten uff die thurn zuo bläsern unnd wechtern von den räthen angenomen werden, söllen schweren: Täglich, alls namblich {von sannt Jörgen tag biss sanct Michelstag, des obends, ungevarlich ein viertel einer stund nachdem es neune geschlagen, unnd von sannt Michelstag biss widerumb sannt Jorgentag, gleich nach dem es neune (wann es achte) schlacht, uff die türn ze gonnd,} unnd uff dem Munsterthurn die wachtgloggen von stund an ze lutenn, daruff glich blosen und dan das glögklin ein halb viertel einer stund lang zelüten. Ouch {niemanden uff die thurn ze firen, sonder} daruff zewinter zit biss zu sechs uren am morgen, unnd zuo sumer zyten biss den morgenn zuo fünff uren {(der tag völlig angebrochen) oder wie sy jeder zyt nach gestalt unnd gelegenheit der loüffen, früger oder spätter, uff oder ab zegannd, von den Räthen bescheyden werden.} Ouch beyde, obennds {vor dem das glogklin im Münster, wie vor stat, gelütet wirt,} unnd morgens einer viertel einer stund {vor den funf (mit anbrechendem tag)} ze blasen, in rechter ordentlicher lenge, jedesmals zum wenigisten, vier oder fünff rechte gesetzt [/gesetz].’

13

Constance, mid 16th c: O. C. A. zur Nedden, Quellen und Studien zur oberrheinischen Musikgeschichte im 15. und 16. Jahrhundert (Kassel, 1931), 71

‘{Item}Tag vnnd Nachtwachten sollennd gut vnnd fleissig sorg haben vnnd all stunden nachts mit den Trumetten blasen Damit die ander Wachter Innen entsprechent ... alss das das Feuer vber das Tach oder sunsten für das Haus vffschlecht es seyn vnnden oder obenn Im Haus, alsdann sollent sy mit ainer trummetin anfangt Feuer blassen. Vnnd darnach erst mit der glocken stürmen damit man wüsse das der Sturm vber das Feuer ganngen {etc ...}’

London i) early 1570s: W. L. Woodfill, Musicians in English Society from Elizabeth to Charles I (1953), 50 ii) 1573: Claudius Hollyband, The French Schoolemaister (London, 1573), 68, 70

Lanark, 1581: Extracts from the Records of the Royal Burgh of Lanark ed. R. Renwick (Glasgow, 1893), 79

Germany, 1591–2: Shakespeare’s Europe: unpublished chapters of Fynes Moryson’s Itinerary, ed. C. Hughes (London, 1903), 301

Italy i) 1602: Pompeo Vizani, Descrittione della citta, contato, governo et altre cose notabili di Bologna (Bologna, 1602), 8, 24 ii) c1616: Giuseppe Bresciani, ‘Apparati Trionfali’ (MS); G. Pontiroli, ‘Notizie di musicisti cremonesi dei secoli XVI e XVII da Giuseppe Bresciani’, Bollettino storico cremonese, 22 (1961–4), 169

i) ‘Caminano questi Signori, quando vanno in publico, vestiti di ricche robbe di seta{, soderate nel tempo dello inuerno di pretiosissime pelliccie;} accōpagnati da vna honorata famiglia di otto Trōbettieri, con vn Timpanista, ò Gnaccarino, che con essi Trombetti suona certi timpani alla Moresca, à’ quali sono attaccati, come anco alle trombe, certi stendardi con l’arme della Libertà; otto Musici eccellenti, con tromboni, & cornetti; vno Araldo’. • ‘{et iui} sù n’vn verone, ò reghiera bellissima di macigno si suonano le trombe ogni sera; & dopò le trōbe si fà gratiosissima musica di tromboni, & cornetti.’ [Pompeo Vizani, Descrittione della citta, contato, governo et altre cose notabili di Bologna (Bologna, 1602), 24 • 8]

ii) ‘comincio a sonare due chori di trombe puoi seguendo quattro tamburi et una copia de piffari andavano a vicenda hor 1. uno et hor 1. altro sonando e cio per trattenimento del popolo gionto il tempo determinato fu da piffari sonato quelle canzonetta o aria detta Gemma ridente’.

France, c1640: Pierre Trichet, Traité des instrumens de musique (MS); Traité des instruments de musique, ed F. Lesure (1957, 2/1978) f.62; F. Lesure, ‘Le traité des instruments de musique de Pierre Trichet: les instruments à vent’, AM 3 (1955), 385

‘A Bourdeaux nos magistrats populaires qu’on nomme jurats ont deux officiers qui portent devant eux chascun une longue trompette d’argent sans repli avec une banderole où sont les armoiries de la ville. Mais cella ne se fait que lorsqu’aux processions générales, aux feux de joye ou à quelque autre solemnité publique. Les mesmes officiers sont employés avec leurs trompettes pour faire les proclamations publiques et sont obligés d’assister à l’exécution des criminels{, condamnés à souffrir quelque peine exemplaire pour leurs crimes.}’

Germany, 1679: Jacob Lottich; G. G. Küster, Collectio Opusculorum Historiam Marchicam illustrantium ... (Berlin, 1733), 225–7

‘Wann Titans hoher Lauff den Mittag schier will machen/

Die Uhre Zehn schlägt ab/ da geht mit seinen Sachen

Der Musicanten Chor/ bestimmet sich zu hauff/

Und blaset uns zu Tisch eins mit Posaunen auf.

Die Mittags Music ist vom Raths-Thurn anzuhören/

Fast hoch in freyer Lufft; sie schallet Gott zu Ehren/

Dem Menschen zum Bericht: Dann so weiss jedermann

Ihm täglich um die Zeit/ die Glock sey Zehn heran.

...

So bald Aurora blickt in gold-gefärbter Röthe/

Ergreifft/ der ausgewacht/ den Wecker/ die Trompete/

Macht durch ein Morgen-Lied die Stadt allard und wach/

Legt drauf sich selbst zur Ruh/ und holt den Schlaff ihm nach.’

14

London, 1698: Ned Ward, The London Spy (London, 1698, 3/1706), Pt ii, 35–6

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Lyon, 1559: Barthélemy Aneau, Genethliac: noel musical et historial (1559), preface; F. Dobbins, Music in Renaissance Lyons (1992), 68

Psalm singing i) 1562: Thomas Sternhold, J. Hopkins & others, The Whole Booke of Psalmes (London 1562), title-page ii) 1565: Claude Goudimel, Les Pseaumes mis en rime francoise … ([Geneva], 1565), ‘Aux lecteurs’

ii) ‘Nous avons adiousté au chant des Pseaumes, en ce petit volume, trois parties: non pas pour induire à les chanter en l’Eglise, mais pour s’esjouir en Dieu particulierement ē s[/en les]maisons. {Ce qui ne doit estre trouvé mauvais, d’autant que le chant duquel on use en l’Eglise, demeure en son entier, comme s’il estoit seul.}’

The Countrie Mans Comfort, or religious Recreations, 1588: John Rhodes, The Countrie Mans Comfort. Or Religious Recreations… And since corrected, amended, and enlarged. (London 1637), ‘To the Christian Reader’, sig.A2rv

Italy, 1630: Gratioso Uberti, Contrasto musico (Rome, 1630), ed. G. Rostirolla (1992), 70–1

‘Torna il Padre à casa afflitto per li negotij famigliari: si quieta vn poco; la Madre stanca per la cura della fameglia; s’accosta la figlia all’Instromento, manda fuori la voce regolatamente; ò che gusto, ò che soauità de genitori!’

Samuel Pepys diary entries, The Diary of Samuel Pepys, ed R Latham & W Matthews (11 vols, 1970–83) i) 1660: (25 Jan. 1660) i, 29 ii) 1661: (5 June 1661) ii, 115

15

Josiah Franklin, c1710–30: Autobiography of Benjamin Franklin, ed. J. Bigelow (Philadelphia, 1868), 87

Laurence Sterne, 1768: A Sentimental Journey through France and Italy (London, 1768), 190–1

FESTIVITIES

Roman de la Rose, c1230: Geoffrey Chaucer, fragment A, l.759–75; Roman de la Rose, tr. Geoffrey Chaucer, l.744–62; J Stevens, Words and Music (1986), 165

Jehan Maillart, 1316: Le Roman du Comte d’Anjou, ed. M. Roques (Paris, 1931), 92, l.3007–11

‘Li menestrel se resbaudissent;

Toutes les mesonz retentissent,

Bruient cors, trompes vont sonnant:

On n’i oïst pas Dieu tonnant,

Tant par est la feste esbaudie.’

16

London, 1377: The Anonimalle Chronicle 1333 to 1381: from a MS written at St. Mary’s Abbey, York, ed. V. H. Galbraith (Manchester, 1927), 102–3

London, 1555: The Diary of Henry Machyn, ed. J. G. Nichols (London, 1848), 89

John Véron, 1561: The huntynge of Purgatorye to death (London, 1561), f.51v

The Low Countries, 1567: Lodovico Guicciardini, Descrittione … di tutti i Paesi Bassi altrimenti detti Germania Inferiore (Antwerp, 1567) i) 42 ii) 169

i) ‘Questi sono i veri maestri della Musica, & quelli che l’hanno restaurata, & ridotta a perfettione, perche l’hanno tanto propria & naturale, che huomini, & donne cantan’ naturalmente a misura, con g[r]andissima gratia, & melodia{, onde havendo poi congiunta l’arte alla natura, fanno & di voce, & di tutti gli strumenti quella pruova, & harmonia, che si vede & ode, talche se ne truova sempre per tutte le Corti de Principi Christiani.}’

ii)(Antwerp)‘Vedecisi poi a ogn’hora nozze, conviti, danze; sentesi per tutto suoni, canti, & strepiti giocondi’.

York diocese, 1571: Archbishop Edmund Grindal; Injunctions... 1571 (London, [1571]), sig.C3r

Shakespeare, c1596–7: The Merchant of Venice, Act II, sc.v

Elgin, 1599: Kirk Session, edict of 21 Dec. 1599; W. Cramond, The Records of Elgin, 1234–1800 (Aberdeen, 1903–08), ii, 76

Germany, 1620: J. A. Worp, ‘Constantijn Huygens’ journaal van zijne reis naar Venetië in 1820’, Bijdragen en Mededeelingen van het Historisch Genootschap (gevestigd te Utrecht), xv (1894), 81

‘couchasmes cette nuit à Weinssen, ville imperiale sur le Neccar, bien que petite et foible d’inhabitants, qui sont touts presque Lutheriens et affectionnez à l’union. Il y estoit jour de feste de saint. Sur le soir les filles de la ville firent la dance ronde en pleine ruë avec beaucoup d’honeste gravité, ne chantants rien que pseaumes ou chansons spirituelles, avec attention comme il sembloit; qui me semble chose bien differente des façons de faire de mon païs.’

Paris, 1643: [Paul Scarron], La Foire Sainct Germain (Paris, 1643), 7

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Oxfordshire, 1646: M. Lloyd, The King Found at Southwell, and the Oxford Gigg Playd, and Sung at Witney Wakes (London, 1646), 4

London i) 1661: Thomas Rugg, journal entry (Apr. 1661); The Diurnal of Thomas Rugg 1659–1661, ed. W. L. Sachse (1961), 175–6 ii) 1661: Anon., The Cities Loyalty Display’d (London, 1661), 4 iii) 1667: Samuel Pepys, The Diary of Samuel Pepys, ed R Latham & W Matthews (11 vols, 1970–83), viii, 193, (1 May 1667)

Madrid, 1666: Jean Muret, letter (28 Dec. 1666); Janet Hathaway, ‘Laughter and Scandal ...’, AcM 75/2 (2003), 267 (inc. Sp.)

‘Encontré al llegar una multidud de franceses delante de la puerta que reían por anticipado haciéndose recordar los unos a los otros las bufonadas que en los años precedentes habían visto. Después, habiéndose abierto la puerta, entraron en la iglesia como en lugar profano, corriendo y apresurándose para tomar el mejor sitio, y la mayor parte sin quitarse el sombrero ni ponerse de rodillas. Después de un ruido espantable de no sé cuántas voces diferentes ... se hizo de pronto un gran silencio porque descubrieron venir un fraile con un pequeño barril, o sea un tambor, que golpeaba lo más que podía, y otro con un pifano, que se dejaba oír desde hacía un medio cuarto de hora, y que al principio habíamos creído fuese en alguna casa próxima{; había tocado mientras sus compañeros se vestían, después de lo cual se unió al tambor para acompañarlos a su compás.} Aquí fue, señor, donde no pude ya contener la risa. Me olvidé de la santidad del lugar en donde estaba, y {con mucho más transporte que si hubiese visto a Scaramouche en el teatro con su compañía,} me abandoné a inmoderadas carcajadas.’

London, c1680: The Country-Man’s Ramble…: or, Pills to Purge Melancholy, [vol. 1] (London, 1699), 56

Florence, 1770: Charles Burney (1770); Dr Burney’s Musical Tours in                              Europe, ed. P. A. Scholes (1959), I, 180